Pour gagner le cœur de son homme, il s’avère indispensable d’avoir une maîtrise de certaines positions pendant l’ébat sexuel. La position du lotus, en fait partie des positions qu’il faut maîtriser. Découvrez dans cet article quelques astuces pour y prendre.
Comment adopter le lotus ?
Empruntée au yoga(Kamasutra), une position dont son nom donne fait peur pour la plupart des gens. Ainsi, vous vous demandez sûrement comment adopter cette position. C’est simple ! Tout d’abord, l'homme est assis en tailleur, ses pieds placés sur ses cuisses. C’est une posture qui n’est pas nécessairement accessible à tout le monde, mais il faut essayer une fois de voir deux fois pour voir les résultats issus de cette expérience. Dans le cas où cela deviendrait difficile, l'amant peut se contenter de s'assoir plus traditionnellement en tailleur en plaçant les pieds sous ses genoux. Cette forme vous ira aussi bien et donne un équilibre. Une fois en place, la partenaire vient s'assoir sur les cuisses de son amant, en face-à-face, et enroule ses jambes autour de la hauteur de son l'homme. Le rapport sexuel est actif et tout se passe bien, les mouvements de va-et-vient évoluent avec une vitesse à la hauteur du coup. La position du Kamasutra impulse la femme dans le mouvement de va-et-vient en sollicitant les muscles de ses cuisses. L'homme quant à lui, il peut observer un mouvement de balancier avec son buste en se penchant d'avant en arrière pour participer à la cadence. L'acte sexuel en position du lotus nécessite une bonne coordination des amoureux.
Avec qui expérimenter la position du lotus du slow sex ?
Vous devrez savoir que toutes les filles ou femmes ne maîtrisent pas le contour de certaines positions pendant les ébats sexuels. Pour cela, il y a certaines positions qui deviennent difficile à adopter pour la majorité des partenaires. C’est le cas de lotus du slow sex. Pour le faire il faut savoir qui est capable de tenir une telle position avec vous. Le slow sex, permet de ralentir la montée de l'excitation et de retarder l'orgasme au cours de l'acte. C’est une position alternative.